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dc.contributor.authorIyiola, A.-
dc.date.accessioned2023-10-31T10:45:44Z-
dc.date.available2023-10-31T10:45:44Z-
dc.date.issued2007-04-
dc.identifier.issn1595-0344-
dc.identifier.otherui_art_iyiola_lecture_2007-
dc.identifier.otherIbadan Journal of European Studies 7, pp. 73-82-
dc.identifier.urihttp://ir.library.ui.edu.ng/handle/123456789/8647-
dc.description.abstractPlusieurs critiques littéraires des pays postcoloniaux, dont Flores, Slemon et Geoff Hancock, ont noté le rapport entre le roman réaliste magique et une attitude postcoloniale vis-à-vis de l'Histoire. Dans un roman réaliste magique, selon Carpentier et ses nombreux disciples, on voit le portrait d'une collectivité de la classe paysanne qui vit à une époque pré-technologique, qui a beaucoup de traditions orales et qui accèpte que la réalité soit plus bizarre que la fiction. Cet article a pour objectif de voir les éléments du réalisme magique dans Cent ans de Solitude de Gabriel Garcia Marquez.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherDepartment of European Studies University of Ibadan, Ibadan, Nigeriaen_US
dc.titleLecture réaliste magique dans cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquezen_US
dc.typeArticleen_US
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